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Sylvie Ungauer, artiste et enseignante à l'EESAB-site de Brest
sylvie.ungauer (@)eesab.fr 
Sylvie Ungauer réside à Brest depuis 2005 après avoir séjourné en région Centre. Depuis l’obtention de son DNSEP à l’Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Lyon, elle poursuit des projets d’exposition et de résidence de création en France et à l’étranger. Son travail est présent dans les collections publiques dont le Frac Poitou-Charente et le Frac Centre. L’intérêt qu’elle porte aux problématiques identitaires et féministes s’accompagne de manière plus large de réflexions sur la relation des individus avec leur lieu de vie. Elle produit des œuvres à échelles variables, que se soit des maquettes de ville, des sculptures habitables, des vidéos, des performances ou des œuvres graphiques. Elles sont support à des actions qui questionnent la territorialité.


Julie Chaffort, artiste, Bordeaux
http://www.julie-chaffort.com/
Pour Julie Chaffort, le cinéma est un médium dominant, naturel, qu’elle choisit très tôt de développer, à l’école des beaux-arts de Bordeaux où elle étudie, puis auprès de Roy Andersson qu’elle assiste, et de Werner Herzog dont elle suit le séminaire à sa Rogue Film School à New-York.
Les vidéos de Julie Chaffort mirent le paysage, le toisent et le parcourent ; on y croise des hommes au destin tragique et des héros aussi beaux que les chants qui les accompagnent – peut être pour en donner la mesure. En 2015, elle réalise le moyen-métrage La barque silencieuse, sélectionné en 2016 en compétition française et premier film au FID Marseille. Il est également projeté à la galerie Thaddaeus Ropac à Paris Pantin lors de l’exposition Jeune création 66ème édition et remporte deux prix indépendants. Julie Chaffort obtient en 2015 le prix Bullukian, puis le prix «Talents Contemporains 2015 » de la fondation François Schneider. Elle obtient l’année suivante le prix Mezzanine Sud et en 2018, elle est lauréate du prix Mécènes du Sud Montpellier/Sète.

Lilian Froger, historien de l'art et du design, Rennes
http://infra-gorille.tumblr.com/
Lilian Froger est docteur en histoire de l’art contemporain. En parallèle de ses recherches universitaires sur la photographie japonaise, il est l’auteur de textes critiques parus notamment dans les revues esse arts + opinions, Zérodeux, Critique d’art ou Marges, qui s’intéressent au rôle de la fiction dans le champ de l’art contemporain et du design, ainsi qu’à l’implication nécessaire du spectateur, du lecteur ou de l’usager dans l’activation des objets et dans la compréhension des images. En 2018, il est lauréat de l’aide à l’écriture et à la publication d’un essai critique, proposée par l’INHA, l’Institut français et la revue Critique d’art, pour un projet de texte sur le design en Californie (paru dans le numéro d’automne-hiver 2018 de Critique d’art, sous le titre « L’illusion d’un été sans fin : design californien, soleil et mirages »). Il est par ailleurs l’un des fondateurs des éditions Sombres torrents.

Laureline Galliot, designer, Paris
http://www.laurelinegalliot.com/
Après avoir étudié le design textile à l’ENSAAMA , Laureline choisit d’étudier le design produit. Un stage de 6 mois chez Marc Newson lui confirme sa volonté d’alimenter un profil pluridisciplinaire et elle sort diplômée de l’ENSCI les ateliers avec les felicitations du Jury en 2012.
Influencée par sa pratique intuitive, compulsive, tactile de la peinture sur Ipad, Laureline Galliot explore les nouvelles formes de picturalité offertes par les logiciels de sculpture et coloration virtuelles découverts lors d’une expérience professionnelle chez Disney Research lab ( Pittsburgh, Etats Unis). Combinés à une imprimante 3D, ils lui permettent de produire des objets directement peints en trois dimensions donnant naissance à une nouvelle forme de “ digital crafts”. Elle est lauréate du prix de design de vase à la villa Noailles en 2013, ses pièces rejoignent les collections nationales de design français du CNAP. Son travail est exposé dans des musées et Centres d’Art tels que le Swiss Institute de New york, le Mudam au Luxembourg, la galerie SEEDS à Londres, le Madd à Bordeaux, le Centre Pompidou et plus récemment le MAD, Musée des arts décoratifs de Paris. Depuis 2015, elle édite des designs pour tapis avec le fabricant italien de tapis Nodus, développent des séries de textiles avec des fabricants autrichiens, italiens et japonais ( dans le cadre de sa résidence à la villa Kujoyama en 2017).

Léah Geay, artiste, diplômée en 2017 de l’École Européenne Supérieure d'art de Bretagne, site de Brest.
http://leahgeay.com/
Les mythologies contemporaines et les mystères non élucidés de ce monde occupent une place centrale dans les réflexions de Leah Geay. Une phase de documentation sur le terrain lui permet de produire différents objets qui participent à la construction d’un récit sous la forme d’installation plastique. C’est selon cette méthode qu'elle explore ses questionnements sur l'être territorial et la manière dont il se constitue s'invente et se déforme, notamment avec « Aux Frontière du jamais » sur le site du Menhir de Kerloas en l’associant à la recherche ufologique ou avec son terrain en Écosse « A293349 » ou encore le territoire de Feunten Aon, à l’embouchure de l’Elorn, par la réalisation d’une fiction documentaire filmée.
A venir : Juin 2019 - Les ribin’de l’imaginaire, création d’un œuvre dans l’espace public à Kernouës en collaboration avec Studio Coat.

Camille de Singly, historienne de l'art et du design, Périgueux
http://camilledesingly.free.fr/
Docteure en histoire de l’art contemporain et diplômée en muséologie de l’Ecole du Louvre, Camille de Singly est professeure d’histoire de l’art et du design à l’Ecole supérieure des beaux-arts de Bordeaux. Critique d’art (membre de l’Association Internationale des Critiques d’Art) et commissaire d’exposition, elle prépare deux expositions consacrées à Moolinex et Gilles Rochier avec les Requins Marteaux. Elle a créé et préside Documents d’artistes Nouvelle-Aquitaine (www.dda-aquitaine.org) et elle co-coordonne la plateforme d’expérimentation pédagogique et artistique Traverses et Inattendus (http://traversesetinattendus.fr/).

Thomas Pausz, Designer, Icelande
https://www.pausz.org/
Thomas Pausz est diplômé d’un Master en Design du Royal College of Arts de Londres et d´une licence de philosophie de la Sorbonne à Paris. Thomas imagine des nouveaux scénarios de production circulaire qui ont un impact au niveau local et environnemental. Thomas contribue par son travail critique, ses expositions et publications aux débats centraux du Design contemporain tel que la place de l'humain dans l'environnement. Thomas dirige le Master en Design à l'Iceland Academy of The Arts de Reykjavik.

Étudiants de l'EESAB
Brest 
Ondine Bertin, A3 art
Margaux Daniel, A3 design
Quentin Hidrio, M2 design
https://quentinhidrio.wixsite.com/claudedward
Gwen Lebette, M1 art
Coline Le Moine-Veillon, M1 art
Théo Sauvé, A3 art

Intervenants 
Vianney Pichereau, biologiste, Professeur des Universtités de Bretagne Occidentale, Laboratoire LEMAR/IUEM
https://www-iuem.univ-brest.fr/lemar/equipe/pichereau-vianney
Charlotte Corporeau, Physiologie et métabolisme des invertébrés marins, Chargée de recherche à Ifremer, LEMAR/IUEM
https://www-iuem.univ-brest.fr/lemar/equipe/corporeau-charlotte/
Christine Paillard, biologiste, Directrice de recherche CNRS, LEMAR/IUEM
https://www-iuem.univ-brest.fr/lemar/equipe/paillard_christine/

Etienne Bernard, directeur de Passerelle Centre d'art contemporain à Brest depuis 2013.
De 2007 à 2009, il a dirigé le Festival International de l’Affiche et du Graphisme de Chaumont ainsi que le programme d’expositions de graphisme du CAPC Musée d’Art Contemporain de Bordeaux. De 2010 à 2013, il a mis en place et coordonné le programme de résidence Fieldwork : Marfa aux Etats-Unis. Il est commissaire, avec Céline Kopp, de la 6ème édition des Ateliers de Rennes – Biennale d’art contemporain en 2018.
http://www.cac-passerelle.com/

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